GAULEJAC: Gestion par insignifiances paradoxales

La société malade de la gestion

Vincent de Gaulejac

Quelques notes, remarques sur la conférence (écoutez la vidéo):

La ‘lutte des places’. (Des postes qui cachent le feu en forêt…)

Ou comment transformer l’humain en numéros…

Exclure tout ce qui n’est pas mésurable: la dignité et l’amour, par exemple.

Em bom português tem uma ilustração:

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Vers la dixième minute: comment parler sans rien dire, ou encore, Lepage en 5 minutes.

Imaginez maintenant tout votre entourage transformé en dispositifs gestionnaires, des puces aux pulsions, des paroles aux suggestions, des dissimulations au $peKtacle…

Vers la 30′: Gérer/ gouverner par paradoxes: quoi que vous fassiez vous êtes pris dedans. Où pour une même action, vous pouvez être recompensé ou puni.

Système de plus en plus insensé, où les gens se sentent impuissants, mais qui travaillent tous les jours pour que ça fonctionne.

Vers la 45′: L’excellence fabrique de l’exclusion. [Nosostros, on avait formulé ainsi: l’exclusivité produit de l’exclusion]

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